Wednesday, August 23, 2006

The confederacy of Dunces


Ignatius Reilly parle comme un dictionnaire, vit avec sa mère, refuse de travailler et écrit des notes dans un vieux calepin. Il commet une bourde. Sa mère l’oblige à travailler pour se racheter. Commence alors le périple d’Ignatius et de tous ceux qui croiseront sa route.

Cela fait plus d’un an que j’ai lu ce livre. J’ai eu et j’ai encore du mal à le décrire. Un roman riche, un personnage puissant, des réflexions intelligentes, des personnages hauts en couleur et des situations aussi drôles qu’uniques. Ignatius est un de ces personnages que tout écrivain aurait rêvé de créer. Il est drôle, exécrable, intelligent, rustre. Il est tout et son contraire.

La conjuration des imbéciles est un des rares romans à m’avoir laissé bouche bée. Devant tant de génie, je n’ai pu que m’incliner. Devant tant de richesse, je ne pourrai que crier haut et fort : John Kennedy Toole a écrit un des romans les plus puissants du vingtième siècle.

10/10.

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