Thursday, September 14, 2006

Un livre à donner

J'ai une copie de trop de "Mendiants et orgueilleux" d'Albert Cossery. Une vieille copie, on s'entend. Je ne veux pas faire de concours à la con pour l'offrir. Je vais le faire à la FIFS : First In First Served.

Le premier qui me donne son adresse sur : karl.amassini@gmail.com aura le livre par la poste. L'idéal, après, ce serait de le lire, de le commenter et de refaire la même chose avec un autre blogueur. Et ainsi de suite. Mais ça, ça dépendra de celui qui le recevra.

Que les livres aient une deuxième, troisième, énième vie grâce aux blogues !

Alors, qui sera le gagnant ?

J'attends la première adresse. La seule contrainte : il faut avoir un blogue. (Veuillez indiquer l'adresse de votre blogue, S.V.P)

(Ceci n'est pas un canular...)

<$I18NNumpersonnes$>:

At 14/9/06 2:43 PM , Anonymous Anonymous said...

Salut Onassis :-)
C'est de la discrimination ton truc. Je n'ai pas de blog et le livre m'intéresse :-)

 
At 14/9/06 6:09 PM , Blogger Onassis said...

Eh oui voisine, il faut bien que je privilégie mes "collègues". La vie est injuste...:)

 
At 15/9/06 9:19 AM , Anonymous Anonymous said...

jolie idée. ça me rappelle un 11 septembre d'il y a deux ans où avait été lancé un "attentat poétique" ce jour-là : on devait laisser, sur un banc, dans un endroit public, un livre qu'on aimait bien, avec un petit mot pour le futur lecteur.
j'aime cette idée de deuxième vie pour les livres...

 
At 17/9/06 8:25 PM , Anonymous Anonymous said...

Rah et j'ai raté celà... :)

 
At 17/9/06 9:31 PM , Anonymous Anonymous said...

Je l'ai manqué mais l'idée est géniale!!

 
At 17/9/06 9:50 PM , Blogger Onassis said...

Eh bien, je vois que l'idée a plu à pas mal de monde. Peut-être qu'on devrait tous faire en sorte de la faire "perpétuer"...

 
At 8/10/06 8:44 PM , Blogger Nina louVe said...

Des nouvelles du blogueur qui a reçu le livre ?

Où sont les mendiants, où est allé l'orgueilleux ?

 
At 9/10/06 8:40 AM , Blogger Onassis said...

Non, Nina. Eliane ne m'a pas dit si elle avait aimé le livre. Une femme pourrait ne pas l'apprécier : une douce mysoginie plane sur ses pages...

 

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