Campeones. Campeones.
J'ai eu chaud. Très chaud. Ronaldinho n'était pas à son top. Arsenal a tenu bon. Puis il y eut Iniesta. Et Belletti. Et Larsson. Et les buts. Et le bonheur. Et les cris de joie. Larsson sut garder le meilleur pour la fin. Et quel meilleur. Deux passes décisives, dont une (la première) mémorable.
Aujourd'hui, el barcelonismo est à son top. Barcelone, la ville reine où tout le monde (sauf les ennemis jurés du Barça) voudrait être. Je fais partie du tout le monde. J'aurais dansé, j'aurais chanté, j'aurais bu à leur victoire. J'aurais bu à la vie. Car, après tout, le beau jeu, les émotions intenses, la fraternité des joueurs ne sont-ils pas tous un hymne à la vie ?
Visca Barça ! Y que no esperemos otros 14 años para la próxima !
Merci Rijkaard.