Ulysse. Encore Ulysse.
Je suis passé au deuxième tome. Suis-je passionné par le livre ? Non. Pas du tout. J’entends déjà les plaintes des inconditionnels de Joyce. Mais qu’y puis-je ? Joyce voulait sûrement que ça en soit ainsi. Il a voulu détruire toute forme prescrite de faire des romans. Il s’est joué des modèles, a voulu que ses lecteurs méritent de lire son livre et de l’achever. Est-ce du génie ? Difficile à dire. Je me prononcerai à la fin du livre. Même si je sais d’avance que je suis plus proche de l’écriture poétique (à la « promesse de l’aube » ou « cent ans de solitude ») que l’écriture ardue et prétentieuse.
Ou peut-être, tout simplement, que je n’ai rien compris. Que mon petit cerveau ne réalise pas encore l’ampleur de ce roman, décrit par certains comme le plus grand roman du 20ème siècle. Peut-être.
À suivre…
Pas lu non plus. Beaucoup trop petit cerveau. Je suis très intéressé par le résumé (succinct le résumé) et les commentaires...